• Il paraît que j'ai couché avec des bloggers de la plateforme,
    Mais ce que je ne sais pas, c'est si j'ai jouis au moins !
    Et puis, je ne sais pas non plus avec combien !
    Et puis, je ne sais pas non plus quand était-ce 
    Et puis, je ne sais pas non plus où était-ce !
    Chier, pourquoi c'est les intéressés qui sont au courant en dernier !
    Au fait on fait une partouze tant qu'on y est !
    La liste est ouverte... mais sur ce coup je serais au courant la première !

    Il parait que j'aime les plaisirs charnels,

    Il parait aussi que j'aime les nouvelles expériences sexuelles,

    Il parait aussi que j'ai des envies inassouvies...

    Qui se propose de m'éduquer?

    Qui se propose de me butiner?

    Emmène moi vers les sommets du plaisirs...

    Dévoile la féline qui sommeille en moi...

    Fais moi jouir comme j'ai envie que tu jouisses!



    34 commentaires


  • La luxure est la recherche déréglée des plaisirs sexuels (avec ce que cela contient d'excessif et de condamnable).

    N'y voit-on pas comme dans tous les péchés capitaux obéissance à une pulsion “naturelle” et/ou exaltation de soi ?

    La plus célèbre représentante de la luxure et des plaisirs est la Déesse
    Shlikah.

    Demoiselle aux formes débordantes et aux appétits dignes de sa charge.

    Sa crinière rousse, ses yeux profonds, ses oreilles éveillées, sa poitrine fière, sa croupe accueillante et son tempérament fougueux, font d'elle l'un des joyaux du Palais des Dieux.

    Jamais dieu ou déesse n'a été mieux imprégné des devoirs de sa charge. elle attache la plus grande importance à l'obtention du plaisir



    43 commentaires


  • J'ose alors lui demander : « Tu ne voulais pas que nous déjeunions ? » ce à quoi il répond encore par un « chut ». Je sens ses mains remonter le long de mes jambes qu'il parcoure de baisers sur les bas. Remonte jusqu'au haut de mes jambes et arrive jusqu'à ma lingerie sur laquelle il dépose un baiser, juste un... J'ai le corps en émoi, je ne sais plus trop où nous sommes.

    Ses mains s'attaquent désormais à l'élimination de ce bout de tissu que je porte encore, il m'ôte mon haut, je suis en dessous, chaussée, les yeux bandés. J'avoue que cette situation m'excite grandement, l'humidité naît en moi, mais il ne le sait pas encore. De ses mains il me fait avancer dans la pièce et me pousse délicatement vers ce que je crois être un guéridon, pose mes mains sur le rebord, descend le long de mes jambes qu'il écarte une à une.

    Il embrasse mon cou plus fougueusement, joue avec sa langue pour descendre le long de mon dos, ce qui a pour effet de me cambrer involontairement. Ses mains saisissent mes anches pendant qu'il embrasse goulûment mes fesses. Il doit être à genoux derrière moi, je sens son souffle sur ma peau qu'il ne cesse d'embrasser, sa langue se glisse vers mon intimité, ses doigts parcourent ma fente humide de désir. Il s'insère, m'enserre de ses bras massifs, mon corps est à lui, sujet au moindre frisson qu'il déclenche.

    Mes jambes s'écartent un peu plus, mes lèvres humides, je ne me retiens plus, je sens un début d'orgasme saisir mon antre. D'un puis deux doigts, il cherche mon intérieur, coulisse en moi, ma chaleur, mon humidité inonde ses doigts raides.

    J'entends un bruit de tissu tombant sur le sol, je devine que son pantalon n'est plus qu'un tas de fibres jonchant le sol. Je perçois son membre droit contre mes fesses, se caresser, il est près comme jamais de moi. Mes mains agrippent le bord de ce guéridon que je maltraite de plus en plus, heureusement qu'il est bien fixe sur le sol. Ma tête renversée en arrière, je n'ai plus qu'une envie. Lui en moi, doucement, fermement, en délicatesse, en profondeur...

    Il devine mes envies, se frotte contre mon sexe, trempé à souhait. De sa main gauche il saisit une poignée de mes cheveux qu'il tire doucement vers lui. ma tête est complètement renversée, le dos cambré à souhait, sa main maintient mon corps par la hanche, son sexe se frotte encore, et encore contre ma mouille. D'un geste sur, il m'empale sur son membre dur. Fermement, en profondeur, il jauge la chaleur et l'humidité qui m'habitent...
    Encore pensais-je, mais il sortit de son fourreau pour me faire languir un peu plus... quelques gémissement s'échappent de ma bouche, un râle de sa bouche. Il est à deux doigts de jouir lui aussi, il a du mal à se contrôler, d'envies brûlantes, il m'enfourne à nouveau, plus loin, plus fort, plus vite, le guéridon tremble sous ses assauts.

    Les mouvements s'accélèrent encore, je ne peux retenir le plaisir intense que je ressens, je cris mon plaisir, me crispe sur les bords du guéridon, lui, tire un peu plus sur mes cheveux, ses râles se font plus sourd, se raidit, il explose en moi en une agonie masculine plus intense encore.

    Puis se retire de son fourreau, ôte mon bandeau, me tourne face à lui et pour seul geste m'embrasse passionnément. Il est malheureusement temps pour moi de retourner au travail, mais je peux dire que je n'avais plus l'envie de travailler.


    25 commentaires


  • Pourquoi n'ai je pas pris mon sac lorsque midi à sonné hier ?
    Pourquoi suis-je rester pour classer ces derniers dossiers ?
    Pourquoi lorsque je suis sortis, il était là ?

    Il était devant son 4x4 BM gris, sourire aux lèvres, il était beau avec son costume gris anthracite, les lunettes de soleil posées sur ses cheveux bruns, le soleil qui se plongeait dans son regard bleu intense.
    En refermant la porte derrière moi nos regards se croisèrent, je m'avançais vers lui en souriant et en lui demandant pourquoi il était là après ces deux derniers mois sans aucune nouvelle. Sa seule réponse fut de me prendre par la taille et me mener vers la portière ouverte de sa voiture.

    Toujours interloquée, je réitérais ma question. « Que fais-tu là ? » Le sourire toujours aux lèvres, il me répondit : « Tu n'avais rien de prévu ce midi, je t'emmène déjeuner chez moi, il fait beau aujourd'hui ». Il démarra et l'autoradio diffusait une musique tendre en ce jour de Saint Valentin. Les yeux fixés vers lui, une foultitude de questions, d'interrogations me traversaient l'esprit. « Où va t-on ?, Que veut-il ? »

    Dix minutes de trajets plus tard, nous arrivions devant une jolie villa de style contemporain, le portail s'ouvre devant une allée bordée de cyprès et laisse deviner la maison couleur terre de sienne. Le moteur s'arrête, il descend, m'ouvre la porte et me tend la main. Dans mes yeux il peut lire mes questions toujours présentent. Nous sommes maintenant devant la porte d'entrée, un tour de clef et il se tourne vers moi en me disant qu'il a prévu une surprise pour moi. De sa poche de veste, il sort un foulard noir, se place derrière moi et me bande les yeux. Je ne sais pas trop comment je dois réagir, je bafouille simplement un « qu'est ce que tu fais ? » ce à quoi il ne répond rien, juste un « chut » au creux de mon oreille. Il se saisit de ma main et m'aide à avancer, nous marchons un bref instant, ses mains se posent sur mes hanches et il m'embrasse délicatement dans le cou. Il me dit que j'ai certainement trop chaud avec mon manteau et qu'il faut que je me mette à l'aise, il déboutonne mon manteau et me dépose encore des baisers dans le cou, remonte jusqu'à titiller mon lobe d'oreille. Un frisson parcourt mon dos. Que dois-je faire ?

    Ses mains remontent de mes hanches jusqu'à mes épaules, il décale le tissu de mon haut pour embrasser mes épaules dénudées, les frissons se font plus intenses et j'en rougis même.

    Ses mains descendent le long de mon buste, se glissent sous le tissu et remontent sur ma peau chaude, je ne peux retenir un soupir de désir charnel.
    Il sent que le désir monte en moi, il entreprend l'aventure de descendre ses mains jusqu'à la boutonnière de mon pantalon tout en assénant mon cou de baisers plus appuyés maintenant. Je ne dis toujours rien, les yeux dans le noir, il n'y a plus que mon corps qui parle et réagit à ses manières délicates.
    Les deux boutons s'ouvrent et le zip s'ouvre aussi presque comme par magie, le pantalon glisse le long de mes jambes, je suis à demi nue dos à lui. Il accompagne la descente avec ses mains, passe sur mes bas noirs, soulève un à un mes pieds, encore chaussés de mes talons, pour ôter définitivement mon pantalon.


    17 commentaires



  • Sur la colline de la vie
    J'ai grimpé pour ton amour
    J'ai cueilli la fleur d'envie
    En découvrant le nouveau jour.

    Trop haut dans les nuages
    Je pensais au monde meilleur
    En bas dans le carnage
    Tu étais mon nuage.

    L'âme que je cherchais
    En te voyant, j'ai cru trouver
    Déjà ton ombre me regardait
    Et nos yeux se sont "aimés".

    Te souviens-tu du bon vieux temps ?
    Des feuilles mortes, de tes mains froides
    Que tu prenais pour un moment
    Nous étions deux sur la route droite.

    Mais la tempête, à elle seule
    A balayé ce bon vieux temps
    Brille encore soleil en deuil
    Sur cet amour qui n'était que du vent !




    12 commentaires