• Offre-toi à moi, sans aucune réserve,
    Je veux te voir, obéissante à mes désirs,
    Enlève ses vêtements qui cachent ton si joli corps,
    Je veux que tu te déshabilles doucement et que tu baisses la tête,

    Apeurée par ce soudain comportement, finalement, j'obéis,
    Non sans retenue de prime abord,
    Je m'exécute et déboutonne le jupe de mon tailleur gris,
    Il me précise alors, qu'il veut que je danse aussi pour lui,

    Dans ma tête une foule de réflexions s'entre choquent,
    Tout en fermant les yeux, la tête baissée, mon corps ondule,
    Doucement, puis de manière plus langoureuse,
    la jupe glisse le long de mes jambes et viens s'échouer sur le sol carrelé,

    Mes mains remontent le long de mon corps pour ôter mon débardeur,
    STOP, me dit-il, dans un sursaut je m'arrête, interloquée,
    Je veux que tu te caresses en même temps, obéis, tu ne serras pas déçue,
    En remontant à nouveau mes mains, je frôle ma lingerie,

    Mes mains s'appuient un peu plus et finissent par remonter,
    Sous l'étoffe, trouvent ma poitrine dont elles se saisissent,
    Terminent de relever puis retirer mon débardeur,
    Désormais en lingerie et bas devant lui, j'ondule toujours,

    Je le sens près de moi, il me désire, je le sens...


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  • J'ose alors lui demander : « Tu ne voulais pas que nous déjeunions ? » ce à quoi il répond encore par un « chut ». Je sens ses mains remonter le long de mes jambes qu'il parcoure de baisers sur les bas. Remonte jusqu'au haut de mes jambes et arrive jusqu'à ma lingerie sur laquelle il dépose un baiser, juste un... J'ai le corps en émoi, je ne sais plus trop où nous sommes.

    Ses mains s'attaquent désormais à l'élimination de ce bout de tissu que je porte encore, il m'ôte mon haut, je suis en dessous, chaussée, les yeux bandés. J'avoue que cette situation m'excite grandement, l'humidité naît en moi, mais il ne le sait pas encore. De ses mains il me fait avancer dans la pièce et me pousse délicatement vers ce que je crois être un guéridon, pose mes mains sur le rebord, descend le long de mes jambes qu'il écarte une à une.

    Il embrasse mon cou plus fougueusement, joue avec sa langue pour descendre le long de mon dos, ce qui a pour effet de me cambrer involontairement. Ses mains saisissent mes anches pendant qu'il embrasse goulûment mes fesses. Il doit être à genoux derrière moi, je sens son souffle sur ma peau qu'il ne cesse d'embrasser, sa langue se glisse vers mon intimité, ses doigts parcourent ma fente humide de désir. Il s'insère, m'enserre de ses bras massifs, mon corps est à lui, sujet au moindre frisson qu'il déclenche.

    Mes jambes s'écartent un peu plus, mes lèvres humides, je ne me retiens plus, je sens un début d'orgasme saisir mon antre. D'un puis deux doigts, il cherche mon intérieur, coulisse en moi, ma chaleur, mon humidité inonde ses doigts raides.

    J'entends un bruit de tissu tombant sur le sol, je devine que son pantalon n'est plus qu'un tas de fibres jonchant le sol. Je perçois son membre droit contre mes fesses, se caresser, il est près comme jamais de moi. Mes mains agrippent le bord de ce guéridon que je maltraite de plus en plus, heureusement qu'il est bien fixe sur le sol. Ma tête renversée en arrière, je n'ai plus qu'une envie. Lui en moi, doucement, fermement, en délicatesse, en profondeur...

    Il devine mes envies, se frotte contre mon sexe, trempé à souhait. De sa main gauche il saisit une poignée de mes cheveux qu'il tire doucement vers lui. ma tête est complètement renversée, le dos cambré à souhait, sa main maintient mon corps par la hanche, son sexe se frotte encore, et encore contre ma mouille. D'un geste sur, il m'empale sur son membre dur. Fermement, en profondeur, il jauge la chaleur et l'humidité qui m'habitent...
    Encore pensais-je, mais il sortit de son fourreau pour me faire languir un peu plus... quelques gémissement s'échappent de ma bouche, un râle de sa bouche. Il est à deux doigts de jouir lui aussi, il a du mal à se contrôler, d'envies brûlantes, il m'enfourne à nouveau, plus loin, plus fort, plus vite, le guéridon tremble sous ses assauts.

    Les mouvements s'accélèrent encore, je ne peux retenir le plaisir intense que je ressens, je cris mon plaisir, me crispe sur les bords du guéridon, lui, tire un peu plus sur mes cheveux, ses râles se font plus sourd, se raidit, il explose en moi en une agonie masculine plus intense encore.

    Puis se retire de son fourreau, ôte mon bandeau, me tourne face à lui et pour seul geste m'embrasse passionnément. Il est malheureusement temps pour moi de retourner au travail, mais je peux dire que je n'avais plus l'envie de travailler.


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  • Pourquoi n'ai je pas pris mon sac lorsque midi à sonné hier ?
    Pourquoi suis-je rester pour classer ces derniers dossiers ?
    Pourquoi lorsque je suis sortis, il était là ?

    Il était devant son 4x4 BM gris, sourire aux lèvres, il était beau avec son costume gris anthracite, les lunettes de soleil posées sur ses cheveux bruns, le soleil qui se plongeait dans son regard bleu intense.
    En refermant la porte derrière moi nos regards se croisèrent, je m'avançais vers lui en souriant et en lui demandant pourquoi il était là après ces deux derniers mois sans aucune nouvelle. Sa seule réponse fut de me prendre par la taille et me mener vers la portière ouverte de sa voiture.

    Toujours interloquée, je réitérais ma question. « Que fais-tu là ? » Le sourire toujours aux lèvres, il me répondit : « Tu n'avais rien de prévu ce midi, je t'emmène déjeuner chez moi, il fait beau aujourd'hui ». Il démarra et l'autoradio diffusait une musique tendre en ce jour de Saint Valentin. Les yeux fixés vers lui, une foultitude de questions, d'interrogations me traversaient l'esprit. « Où va t-on ?, Que veut-il ? »

    Dix minutes de trajets plus tard, nous arrivions devant une jolie villa de style contemporain, le portail s'ouvre devant une allée bordée de cyprès et laisse deviner la maison couleur terre de sienne. Le moteur s'arrête, il descend, m'ouvre la porte et me tend la main. Dans mes yeux il peut lire mes questions toujours présentent. Nous sommes maintenant devant la porte d'entrée, un tour de clef et il se tourne vers moi en me disant qu'il a prévu une surprise pour moi. De sa poche de veste, il sort un foulard noir, se place derrière moi et me bande les yeux. Je ne sais pas trop comment je dois réagir, je bafouille simplement un « qu'est ce que tu fais ? » ce à quoi il ne répond rien, juste un « chut » au creux de mon oreille. Il se saisit de ma main et m'aide à avancer, nous marchons un bref instant, ses mains se posent sur mes hanches et il m'embrasse délicatement dans le cou. Il me dit que j'ai certainement trop chaud avec mon manteau et qu'il faut que je me mette à l'aise, il déboutonne mon manteau et me dépose encore des baisers dans le cou, remonte jusqu'à titiller mon lobe d'oreille. Un frisson parcourt mon dos. Que dois-je faire ?

    Ses mains remontent de mes hanches jusqu'à mes épaules, il décale le tissu de mon haut pour embrasser mes épaules dénudées, les frissons se font plus intenses et j'en rougis même.

    Ses mains descendent le long de mon buste, se glissent sous le tissu et remontent sur ma peau chaude, je ne peux retenir un soupir de désir charnel.
    Il sent que le désir monte en moi, il entreprend l'aventure de descendre ses mains jusqu'à la boutonnière de mon pantalon tout en assénant mon cou de baisers plus appuyés maintenant. Je ne dis toujours rien, les yeux dans le noir, il n'y a plus que mon corps qui parle et réagit à ses manières délicates.
    Les deux boutons s'ouvrent et le zip s'ouvre aussi presque comme par magie, le pantalon glisse le long de mes jambes, je suis à demi nue dos à lui. Il accompagne la descente avec ses mains, passe sur mes bas noirs, soulève un à un mes pieds, encore chaussés de mes talons, pour ôter définitivement mon pantalon.


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  • Entre mes cuisses chaudes et fermes
    Une idée en tête, une envie germe
    Envie de moi avec moi,
    Envie de mes doigts sur moi.

    Simplement envie d'un orgasme,
    Doucement, insidieusement, quelques spasmes.
    Sentir naître une humidité en moi,
    Au fil des caresses m'introduire en moi.

    Soumisse à mes caprices érotiques,
    Jouer avec moi sans aucune technique,
    Saisir cet instrument de plaisir,
    Sentir en moi grandir le plaisir.

    Voir ma mouille s'amplifier sous mes caresses,
    Accélérer mes mouvements à m'en faire jouir,
    Aller et venir dans ce fourreau de plaisir,
    Exploser de plaisir sans toi, en détresse....


    Où es tu ?



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  • Chaque jour j'ai des envies,
    Et le fait d'être malade, ne me calme pas.
    Pourtant çà devrait, vu mon état.
    Je ne peux pas me passer de mon (au minimum) orgasme quotidien.

    Alors hier, malade comme un chien,
    Je m'éclipse du bureau, pour me réfugier dans les toilettes,
    Avec cette frénétique envie de jouer avec mon sexe.
    Mon patron aura certainement dit « elle est bien longue »,
    Mais comme je n'aime pas bâcler, je prends mon temps.

    Mon sexe épilé, les doigts effleurent la peau,
    S'introduisent entre mes lèvres charnues et déjà moites
    Je sens mon envie à mon clitoris déjà gonflé et dure.

    Je ne peux pas faire de bruit, quelqu'un pourrait m'entende,
    Je pince mes lèvres avec mes dents tant le plaisir monte.
    Un doigt puis deux coulissent désormais en moi,
    Avec ma deuxième main je frotte de manière plus appuyée mon bouton,
    Qui se tend encore plus à mesure que mes doigts vont et viennent en moi.

    Les spasmes naissent en mon bas ventre, je pince un peu plus mes lèvres.

    Plus le plaisir augmente plus j'accélère le mouvement avec mes doigts.
    Un troisième doigt s'engage alors dans cette caverne à plaisirs.

    Et le plaisir explose en moi, se répand sur mes doigts.

    Je n'ai pas hurlé de plaisir, pourtant j'aurais aimé.


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