-
Un capot de voiture cest froid suite
Par
l.nconnue dans
Quelques mots çà et là le
31 Janvier 2007 à 09:28
Fleur est si proche de Franck qu'elle sent son membre, dur et tendu comme un bout de bois, qui ne demande à sortir de l'étreinte du jean de ce dernier.
Elle glisse ses mains entre eux deux afin de libérer l'objet du plaisir, atteint les boutons du jean qu'elle ouvre un à un, glisse sa main à l'intérieur et trouve sous le boxer son sexe glabre. Elle l'enserre et le libère enfin, il jaillit vigoureusement. Elle se laisse glisser le long du capot et s'accroupit face à Franck, saisit son instrument, qu'elle engloutit goulûment dans sa bouche. Sa langue parcoure toute la longueur et redescend pour atteindre ses testicules qu'elle lèche avec gourmandise.
Sa main branle doucement pendant qu'elle continue ses mouvements de va et vient avec sa bouche. Franck, lui, caresse plus encore le sexe de Fleur, insère ses doigts dans la fente, désormais, mouillée et glisse un doigt dans ce fourreau brûlant de chaleur, ressort pour y entrer un deuxième doigt, qui coulisse doucement et appui sur l'intérieur des parois de son vagin. De petits gémissements s'échappent de sa bouche et résonnent dans cette ruelle sombre et déserte. Gonflé de désir, le sexe de Franck cherche l'entrée de son fourreau pour s'y glisser et unifier ces deux corps posés sur le capot de la voiture. Coups de reins délicats se transforment en vigueur plus animale, Fleur remonte ses jambes autour de la taille de Franck et se colle un peu plus à lui, ses mains remontent sur le capot de la porche pour s'y maintenir tant les saccades la remue.
Il s'insère maintenant encore plus fort et Fleur secoue plus énergiquement la voiture, ce qui a pour effet de faire retentir l'alarme de la voiture, mais cela n'arrête pas nos deux prétendants. Soudain un bruit de persiennes ralentit l'éteinte de ces derniers, le visage d'un homme sort du noir de la ruelle, Fleur lève les yeux et voit cet homme, d'âge mur, qui les regarde.
Il se souvient de ces dernières étreintes dans des lieux insolites comme celui sous ses yeux et ne dit que quelques mots en souriant : « évitez de me rayer le capot avec vos talons mademoiselle, bonne continuation » stoppe l'alarme et referme aussi rapidement ses volets.
Ce petit intermède n'arrête pas nos deux jeunes gens, Franck enfourne encore plus fort et plus vite, Fleur gémit de plus en plus fort et plus intensément, à tel point que Franck lui pose la main sur la bouche pour ne pas éveiller la curiosité des parisiens endormis. Franck émet lui aussi quelques gémissements, son sexe se tend encore plus. Fleur est secouée par ces petits spasmes, signes d'une jouissance naissante, elle a de plus en plus de mal à contenir ses cris de bonheur, Franck est au bord de l'explosion et elle le sent bien, c'est alors qu'elle glisse une de ses mains sous son sexe pour attraper les testicules de ce dernier et les malaxer. La jouissance ne se fait pas attendre et Franck explose en elle en émettant un râle de plaisir, elle non plus ne contient plus son plaisir et jouit tout aussi fortement que lui et répand sa liqueur sur le sexe de Franck
Nos deux jeunes gens s'embrassent et se rhabillent prestement, déambulent dans la ruelle, les yeux hagards chargés des émotions intenses qu'ils viennent de partager. Quelques minutes plus tard, ils rejoignent leur bande d'amis dans le pub.
De cette soirée restera, l'alcool, les amis et le fait qu'un capot de porche çà n'est pas si froid que çà.
-
faite hier, tenue ce jour! baisers là