• Il faisait presque nuit quand ils arrivèrent dans cette petite rue dont elle ne remarqua pas le nom, à l'extrémité de Versailles. Le soleil avait cessé de déclencher des incendies dans le ciel. Maintenant c'était de l'ombre dense et étouffante comme de la fumée échappée à un brasier de vieux pneus. Il n'y avait pas un chat. D'un côté un immense mur de briques. De l'autre une bâtisse sans fenêtres, souriante comme une prison. Ils n'avaient pas beaucoup parlé pendant le voyage.
    Le conducteur, maxillaires coincés, martyrisait entre ses dents un cigarillo mince et noir comme une allumette grillée. C'était curieux à dire mais elle se sentait bien avec lui, en sécurité presque. Çà devait être dû à ses deux mètres pleins de muscles, à sa carrure d'armoire à glace, à sons sourire. Ou peut être tout simplement au fait qu'il était célèbre. Elle se demanda combien de centaine de milliers de filles se seraient crêpé le chignon rien que pour être à sa place.

    -L'endroit est assez impressionnant, vous allez voir, lui dit-il.
    -On ne va pas y rester une éternité ? Juste le temps de me...
    Le mot « déshabiller » ne passait pas, elle reprit :
    -On filme la séquence et vous me déposez vite fait chez moi, hein ?
    -Je vous l'ai promis, fit-il
    Il voilà l'éclat froid et dur de son regard en se tournant vers elle. Il devait avoir à peu près 45 ans. Elle regarda ses mains larges et puissantes qui serraient encore le volant. Ils avaient écrit dans la presse qu'autrefois il avait fait de la boxe avant d'entrer à la télé...
    -Bon, et bien, plus vite ce sera terminé, plus vite je serais chez moi en train de prendre une douche ! S'écria t-elle.
    Il regarda sa croupe élastique devant lui en traversant la rue. Çà faisait un décrochement souple qui envoyait le tissu souple de sa robe un coup à droite, un coup à gauche. On aurait presque entendu murmurer la fine étoffe. Dire que, dessous, il n'y avait rien ! Rien de rien ! A part deux longues cuisses pleines qui se terminaient par une... Mon dieu ! Il ne fallait pas qu'il y pense ! Pas encore !
    -Qu'est ce que c'est ? Demanda t-elle. Ce bâtiment ? C'est une usine désaffectée ou quoi ?


    23 commentaires


  • Faites cuire les asperges dans une casserole d'eau, les garder bien croquantes.

    Pendant la cuisson, préparez une vinaigrette en mélangeant bien le vinaigre, la moutarde et le sel, et en incorporant l'huile d'olive en un mince filet, avant de mélanger aussi l'estragon (le secret de cette recette réside dans l'émulsion de la vinaigrette : bien secouer !!)


    Présentez les asperges bien droites sur une assiette de service, versez la vinaigrette et parsemez de fleurs de moutarde et de roquette


    33 commentaires


  • Hier soir, je rentrais chez moi en voiture, et je fut prise soudain d'une envie incontrôlable de me caresser.
    Je pris un petit chemin peu fréquenté, arrêta le moteur de la voiture et laissa le poste radio diffuser une musique de Barry White qui me fit tortiller le bassin.

    Mes mains commencèrent à descendre jusqu'à mon bas ventre pour entre-ouvrir la fermeture éclair de mon pantalon et y sentir, sur l'étoffe de mon string, la chaleur qui se dégageait de mon antre.
    Doucement, je me glisse sous le tissu pour entrer en contact direct avec la peau de mon pubis imberbe, l'envie est grande d'aller directement caresser mon bouton tendu d'excitation, mais j'avais envie de faire durer un peu plus ce plaisir, alors je freinais ma main pour qu'elle ne cherche pas de suite à entrer dans mon four.

    Je sentais l'humidité croître et l'envie monter encore un peu plus. Mes doigts descendirent plus encore et entrèrent en contact avec mon clitoris gonflé de désir, de petits effleurements, j'appuyais un peu plus pour faire monter encore le désir, ma main entreprend d'aller plus en avant et je sens mon humidité augmenter, ma liqueur souille  ma lingerie et cela m'excite encore plus. Un doigt tâte cette moiteur, et entre en moi...puis deux et mes cuisses s'écartent, la chaleur, la moiteur augmentent, mes doigts coulissent plus vite, un troisième doigt s'ajoute et je sens le plaisir augmenter au rythme des allers et venus. Les mouvements s'accélèrent, je sens la jouissance venir, les spasmes envahissent mon ventre, le souffle haletant se transforme en gémissements, ma liqueur se répand un peu plus sur mes doigts, encore murmurai-je, oui, je jouis et mes doigts sont plus que mouillés, paroxysme du plaisir, je les porte à ma bouche...


    48 commentaires












  • Barry White said "let the music play"

    12 commentaires

  • A chaque émission qu'elle regardait avec Pierre, il n'avait de cesse de lui dire qu'elle n'aurait jamais assez de courage pour faire ce qu'elles, celles qui se déshabillent pour peu d'argent, osent faire et qui a pour effet de le rendre dingue. « t'as vu, lui dit-il ! toi t'as pas assez de cran pour faire çà, même pour moi ».
    C'est ce genre de réflexion à laquelle elle pensait, alors que Stan avait toujours les yeux plongés dans les siens.

    Elle le regarde d'une manière effrontée et lui dit :
    - Le truc c'est que j'enlève ma culotte dans la rue, je me déshabille et vous me donnez 150 euros, c'est bien çà ? 
    Les yeux de Stan ont maintenant glissé vers le décolleté offert par l'échancrure de la petite robe de Monica et ils se perdent au milieu des deux « monts » promettant milles plaisirs.
    - Oui dit-il, vous connaissez bien on dirait !
    - Ben mon copain est fan et je pense qu'il sera scotché quand il m'y verra, et pour l'argent on fait comment ?
    Il sort de la poche de son pantalon une liasse de billets de dix et lui dit :
    - La moitié maintenant si vous voulez et le reste à la fin ?

    Monica est maintenant bien décidé à montrer de quoi elle est capable. Elle jette un coup d'œil dans la rue et se rend compte qu'il y a quand même pas mal de monde cette après midi, mais qu'à cela ne tienne se dit-elle, que le spectacle commence...
    Elle se saisit de la liasse qu'il lui tend et la fourre dans son décolleté, histoire de paraître encore plus à l'aise. Elle lui tend son sac à mains pour être plus à l'aise et pouvoir effectuer son petit numéro, elle se penche en avant et glisse ses mains dessous le léger tissu de sa robe, remonte jusqu'à sa petite culotte et effectue un petit déhanché pour se libérer de son dessous.

    Monica penchée ainsi, les mains sous l'étoffe, Stan a le regard attiré vers ces morceaux de peau qui apparaissent au fur et à mesure de ses mouvements de hanches, ses yeux remontent de la cheville, s'attardent sur ses petits genoux rond et s'égarent entre le tissu et le haut de ses cuisses qu'il dévore du regard. Monica se redresse doucement, sa petite culotte à la main et tend fièrement son trophée. Elle ne remarque qu'à peine cette grand-mère à côté d'elle qui lui jette un regard intrigué par la scène.
    -Et voilà, dit-elle.
    -Epoustouflant, murmure t-il, vous êtes vraiment faite pour çà, la suite devrait être l'apothéose du spectacle, toujours sure de vouloir continuer, lui lance t-il ?
    -Plutôt deux fois qu'une, répond t-elle effrontément, on va où pour faire çà ?
    Perdu dans ces pensées lubriques, Stan imagine Monica entre ses mains et se voit entrain de faire l'amour à cette fille.
    -Vous n'êtes pas peureuse, demande t-il, parce que pour la suite, j'ai repéré un endroit parfait ! on y va, je vous emmène.
    -Mais çà va pas être trop long parce que je dois rentrer tôt sinon mon copain va s'inquiéter.
    -C'est l'histoire de vingt minutes et puis, je vous dépose chez vous.
    Il lui emboîte le pas et lui ouvre la portière d'une vielle R5 garée non loin.
    -Y sont radin à la prod', y'avait rien d'autre comme voiture ? c'est vieillot çà ! lui dit-elle.
    -C'est pour passé inaperçu vous savez, sinon je ne peux pas rouler tranquillement.
    Il tourne les clef et démarre la voiture vers la destination destinée à la mise en scène de ce petit spectacle pour adultes



    25 commentaires