• L'obscurité s'installe enfin sur la plaine, elle vient de rentrer chez elle. Lui est encore au travail, il en a encore pour une bonne heure. Elle se presse d'aller dans la salle de bain prendre une douche, car elle veut, ce soir, n'avoir d'autre plaisir que celui de cet homme.

    La douche vite prise, elle s'enduit le corps d'huiles essentielles afin qu'il soit encore plus soyeux. Aucun endroit n'est épargné. Elle se saisit de cet ensemble en dentelle noire, qu'il affectionne tant, accompagné d'une paire de bas noir. Un maquillage très léger et les cheveux séchés naturellement, car c'est comme çà qu'il l'aime.

    Sur le sol, elle dispose, depuis la porte d'entrée, des confettis blanc, et ce jusqu'à la porte de leur chambre. Elle place aussi quelques bougies à certains endroits de la pièce, pour donner à la lumière ce je ne sais quoi d'érotique, de sensuel...

    Elle entend la porte d'entrée s'ouvrir et se place sur le lit en attendant qu'il suive les traces qu'elle à laissé sur le sol. Il ne met pas longtemps à la rejoindre, et à la vue de ce spectacle, il en lâche sa mallette sur le sol. Elle se redresse alors pour venir à sa rencontre, marche à quatre pattes sur le lit tel un félin vers sa proie.
    Face à face, elle le regarde, il la prend par la taille et l'embrasse délicatement dans le cou, elle le pousse contre le mur et lui murmure à l'oreille que ce soir, il ne sera pas maître de son plaisir.

    Elle glisse ses mains sous la veste et la laisse glisser le long de ses bras, de même pour le gilet qu'il porte en dessous.
    Un à un elle déboutonne sa chemise, l'écarte pour parcourir son torse de ses mains chaudes, de bas en haut pour rejoindre ses épaules massives, les dégager du tissu qui tombe lui aussi à terre. Il entreprend de la saisir par la taille, mais le mouvement de ses bras est arrêté par sa partenaire.
    Ce soir elle prendra plaisir à lui donner du plaisir.

    D'ailleurs ses mains continuent leur course vers le pantalon à présent, qu'elle déboutonne et ôte le zip de la braguette, il tombe sans effort à ses pieds, ses mains sont rejointes par sa bouche. Elle dépose des baisers sur chaque parcelle de peau jusqu'à parvenir au fruit du plaisir. Le boxer était de trop à ce moment précis, sans attendre plus elle le lui ôte et embrasse passionnément ce sexe glabre qui se tend vers elle. Les genoux à terre elle engloutit goulûment et enserre de ses mains ce pistil. Vas et vient tendent plus encore son membre, sa main passe dessous ses testicules, qu'elle masse délicatement. Le plaisir ne fait que monter, de légers râles s'échappent de sa bouche, il se cambre vers l'arrière et ses épaules se plaquent un peu plus contre le mur.

    Pour continuer le plaisir de ce dernier, elle l'invite sur le lit, il s'y assis à demi allongé, elle se poste devant lui, écarte ses cuisses et lui montre à quel point son plaisir à lui l'excite. Elle écarte la fine bande de dentelle et glisse ses doigts contre son sexe imberbe lui aussi. Il esquisse un mouvement vers l'avant pour la rejoindre, mais du bout du pied elle le repousse, elle se caresse de plus en plus et il voit la mouille naître au bord de ses lèvres. D'une main elle écarte plus encore l'étoffe et glisse un premier doigt en elle, ce spectacle l'excite un peu plus, elle porte alors son doigt à sa bouche et lèche sa liqueur, puis lèche se rapproche de son partenaire pour engloutir encore son pénis.

    Ses mains le branle, sa langue lèche ses testicules, il est au bord de l'explosion, sa bouche pour fourreau, elle l'enserre un peu plus. Sa langue parcoure le dessous tandis qu'elle le suce encore plus voracement. Ses râles se font plus sourd, plus fort, ses mains agrippent les barreaux du lit.
    Il jouit dans sa bouche en fermant les yeux. Elle se délecte de le voir au summum de son plaisir, la pression se fait plus douce et elle aspire cette semence avec délice. Il la regarde, le visage irradié de plaisir.
    Elle lui sourit et s'endort à ses côtés.

    Ce soir là, le plaisir de son homme aura été SON plaisir.



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  • Envie frénétique d'achats de lingerie,
    J'entre dans cette oasis de dentelle et de soie,
    Quelques pas au milieu des rayons multicolores,
    Quelques cintres sur le bras, je me dirige vers les cabines d'essayage,
    Une vendeuse avenante me suis des yeux, postée non loin de moi,
    Je tire le rideau de lin gris souris et saisis le premier ensemble,
    Un petit corset de dentelle noire avec son boxer, j'enfile,
    Quand soudain au moment de l'agrafage, j'entends des pas derrière le rideau,
    La vendeuse discrète lors de mon arrivée, demande si je veux de l'aide,
    Elle entre-ouvre alors le rideau et glisse sa tête à l'intérieur,
    Ses yeux s'arrêtent sur le corset que je tente de fermer,
    Ses mains chaudes s'avancent vers ma poitrine en me demandant si je veux qu'elle me le ferme,
    Elle est désormais face à moi dans cette petite cabine exiguë,
    Ses mains, sur la dentelle, s'attardent, et se pose sur ma chair chaude,
    Sa bouche désormais s'approche de mon décolleté, et se pose délicatement,
    Étonnée, mais charmée, ma tête se renverse vers l'arrière et mes mains se plaquent contre la mince parois de ce réduit,
    Sa langue se fraie un passage entre la dentelle et ma peau,
    Et c'est alors que mon réveil sonne bruyamment, il est l'heure de me lever.



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  • Mais que c'est beau un homme!


    Toucher,


    Sentir,


    Caresser....


    Rêver........



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  • Étendus l'un contre l'autre sous les draps mauves,
    Tu me frôle du bout de tes doigts chaud.
    Des frissons parcourent mon corps transit,
    Et pourtant, la chaleur monte et m'envahi.

    Les yeux mi-clos, les idées pullulent dans mon cerveau,
    Envie de toi, envie de nous, du mélange de nos deux corps.
    Ton bras m'enserre et me rapproche de toi,
    Je te sens massif, te presser contre mon corps encore froid.

    Tu es brûlant de chaleur et de désir contre mes fesses.
    Ta main descendant le long de mes seins tendus,
    Jusqu'à mon ventre que tu masses doucement.
    Nos lèvres se rejoignent dans une valse des langues.

    De caresses délicates, les corps enfin s'unissent.
    Tu t'insère toujours en délicatesse car j'aime et tu le sais,
    Je te sens monter en moi tout comme la chaleur qui me tient.
    Tes mouvements s'accentuent, la vitesse augmente.
    Soulevée de plaisir, nos corps roulent et se relèvent.
    Dos à toi, sur toi, mes hanches se balancent sur toi.
    Tes mains sur mes seins ne se décollent plus,
    Spasmes, râles, gémissement envahissent la pièce.
    Mélange des corps, mélange de nos désirs pervers.

    Les mains liées aux barreaux du lit, je suis à ta merci,
    La croupe relevée tu te saisis de mon intimité un peu plus.
    Tes vas et viens se font plus rudes en moi.
    Je hurle de plaisir, mes mains se crispent, je ne peux me retourner.

    Je ne contrôle plus, mes sensations, mes postures,
    Tu décides aussi de l'intensité de ce que je ressens,
    Tu accélère ou ralenti à ta guise, tu joues.
    Mais le jeu est à double tranchant et tu sens que tu vas jouir.

    Tu saisis à nouveau mes fesses, remonte mon bassin,
    Et m'enfourne à nouveau avec vigueur et force.
    J'explose, je jouis et me répands sur toi,
    Tu jouis aussi et ton râle se fait fort et sourd.




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  • Fleur est si proche de Franck qu'elle sent son membre, dur et tendu comme un bout de bois, qui ne demande à sortir de l'étreinte du jean de ce dernier.
    Elle glisse ses mains entre eux deux afin de libérer l'objet du plaisir, atteint les boutons du jean qu'elle ouvre un à un, glisse sa main à l'intérieur et trouve sous le boxer son sexe glabre. Elle l'enserre et le libère enfin, il jaillit vigoureusement. Elle se laisse glisser le long du capot et s'accroupit face à Franck, saisit son instrument, qu'elle engloutit goulûment dans sa bouche. Sa langue parcoure toute la longueur et redescend pour atteindre ses testicules qu'elle lèche avec gourmandise.

    Sa main branle doucement pendant qu'elle continue ses mouvements de va et vient avec sa bouche. Franck, lui, caresse plus encore le sexe de Fleur, insère ses doigts dans la fente, désormais, mouillée et glisse un doigt dans ce fourreau brûlant de chaleur, ressort pour y entrer un deuxième doigt, qui coulisse doucement et appui sur l'intérieur des parois de son vagin. De petits gémissements s'échappent de sa bouche et résonnent dans cette ruelle sombre et déserte. Gonflé de désir, le sexe de Franck cherche l'entrée de son fourreau pour s'y glisser et unifier ces deux corps posés sur le capot de la voiture. Coups de reins délicats se transforment en vigueur plus animale, Fleur remonte ses jambes autour de la taille de Franck et se colle un peu plus à lui, ses mains remontent sur le capot de la porche pour s'y maintenir tant les saccades la remue.

    Il s'insère maintenant encore plus fort et Fleur secoue plus énergiquement la voiture, ce qui a pour effet de faire retentir l'alarme de la voiture, mais cela n'arrête pas nos deux prétendants. Soudain un bruit de persiennes ralentit l'éteinte de ces derniers, le visage d'un homme sort du noir de la ruelle, Fleur lève les yeux et voit cet homme, d'âge mur, qui les regarde.
    Il se souvient de ces dernières étreintes dans des lieux insolites comme celui sous ses yeux et ne dit que quelques mots en souriant : « évitez de me rayer le capot avec vos talons mademoiselle, bonne continuation » stoppe l'alarme et referme aussi rapidement ses volets.
    Ce petit intermède n'arrête pas nos deux jeunes gens, Franck enfourne encore plus fort et plus vite, Fleur gémit de plus en plus fort et plus intensément, à tel point que Franck lui pose la main sur la bouche pour ne pas éveiller la curiosité des parisiens endormis. Franck émet lui aussi quelques gémissements, son sexe se tend encore plus. Fleur est secouée par ces petits spasmes, signes d'une jouissance naissante, elle a de plus en plus de mal à contenir ses cris de bonheur, Franck est au bord de l'explosion et elle le sent bien, c'est alors qu'elle glisse une de ses mains sous son sexe pour attraper les testicules de ce dernier et les malaxer. La jouissance ne se fait pas attendre et Franck explose en elle en émettant un râle de plaisir, elle non plus ne contient plus son plaisir et jouit tout aussi fortement que lui et répand sa liqueur sur le sexe de Franck

    Nos deux jeunes gens s'embrassent et se rhabillent prestement, déambulent dans la ruelle, les yeux hagards chargés des émotions intenses qu'ils viennent de partager. Quelques minutes plus tard, ils rejoignent leur bande d'amis dans le pub.

    De cette soirée restera, l'alcool, les amis et le fait qu'un capot de porche çà n'est pas si froid que çà.



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