• Il... dit : hallucinant !
    Elle dit : euphorisant
    Il... dit : délirant
    Elle dit : sensuélisant
    Il... dit : épicurisant ?
    Elle dit : édonisant
    Il... dit : envoûtant
    Elle dit : électrisant
    Il... dit : (très) intéressant
    Elle dit : humidifiant
    Il... dit : PASSIONnant
    Elle dit : tendant
    Il... dit : tentant aussi
    Elle dit : désarmant
    Il... dit : désarçonnant

    Silence

    Il... dit :
    (hé bien ?)
    Elle dit : pardon, je suis émue
    Elle dit : Je mettais les mots en situation dans mon esprit
    Il... dit : Ah oui
    Elle dit : ben voui
    Il... dit : je connais bien cette situation
    Elle dit : je vis tes mots
    Il... dit : ...et tu dis mes maux
    Elle dit : je dis tes maux?
    Il... dit : et tu les dis si bien...
    Elle dit : je suis perdue!
    Il... dit : hé bien comme ça, notre admiration est réciproque, c'est du joli !
    Elle dit : oui en pleine fusion d'admiration réciproque
    Il... dit : Pfff, c'est beau, ça...
    Il... dit :
    Planant...
    Elle dit : émoustillant même
    Il... dit : pétillant
    Elle dit : jouissif mais c'est trop tentant
    Il... dit : extatique ?
    Elle dit : ouvre-toi encore à moi alors
    Il... dit : ça m'émeut toujours
    Elle dit : c'est moi qui t'émeus?
    Il... dit : rhaaa, tu n'en rates pas une, toi^^
    Elle dit : alors dépossèdes moi
    Il... dit : Mais oui mademoiselle, c'est avec plaisir que je vous dépossèderais, si vous l'entendez ainsi...
    Elle dit : vos mots à mon endroit m'émoustille monsieur
    Il... dit : J'en suis flatté^^
    Elle dit : c'est comme une plume que vous laisseriez glisser sur certaines parties de mon corps
    Il... dit : Personnellement, je dirais sur toutes les parties de votre corps, mais je m'avance peut-être...
    Elle dit : je vous laisse prendre possession de ce qu'il vous plaira de posséder
    Il... dit : attention, en tant que découvreur je peux avoir envie de planter le drapeau
    Elle dit : Parlez-moi encore avec ces mots si évocateurs pour moi
    Il... dit : Mademoiselle, je verrais d'un bon oeil une promenade sur vos territoires
    Elle dit : Monsieur, je vous laisserais parcourir ce territoire qui n'a rien d'hostile
    Il... dit : Vous voulez dire que je n'y rencontrerais d'aventure aucune résistance ? Qu'aucun combat ne serait à livrer, aucune exquise lutte ?
    Elle dit : je n'ai pas dit qu'il n'y aurait pas de résistance cher monsieur, mais le terrain n'est pas complètement hostile! Il n'est pas dénué de défense non plus
    Il... dit : Mais...s'il n'en est pas dénué, va-t-il falloir le dénuder ?
    Elle dit : il vous faudra le découvrir
    Elle dit : Etes vous déjà partis en quête de découverte
    Il... dit : non, je suis toujours là^^
    Elle dit : comment vous expliquer l'émoi que vous provoquez en moi
    Il... dit : Il est des choses qui se montrent mais ne s'expliquent pas, mademoiselle...
    Elle dit : Elles se ressentent aussi "ces choses", soyez en sur
    Il... dit : Oh, mais je n'en doute pas
    Elle dit : Je ne devrais pas vous avouer ce que je meurs de vous dire
    Il... dit : Oh non, dîtes, ne mourez pas !
    Elle dit : puis-je oser?
    Il... dit : Ah bah plutôt que mourir, oui, sans hésitation !
    Elle dit : vos mots, cette conversation me rend (comment vous dire) émue (pour garder des mots sages)
    Elle dit : je vous ai choqué mon tendre ami? Pardonnez-moi sur l'instant
    Il... dit : Bon, ça va pour cette fois, mais que je ne vous reprenne plus à mourir (d'amour) pour moi sans oser me le dire, hein ?
    Elle dit : je me confonds en excuses
    Il... dit : Pas la peine de faire ces yeux là, tu sais bien que je n'y résiste pas moi^^
    Elle dit : si vous pouviez voir le désir qui brûle en moi
    Il... dit : tel un grand feu qui vous consume de l'intérieur ? Vous vous enflammez vite, belle Inconnue...
    Elle dit : oui tel un grand feu qui provoque de la condensation! c'est vous qui me rendez ainsi
    Il... dit : Vous croyez ? Permettez alors que j'éponge ces gouttes qui coulent sur votre peau...
    Elle dit : elles ne coulent pas sur mais ailleurs
    Il... dit : Sur,  sous, quelle importance, je suis si chamboulé que je ne vois plus la différence...
    Elle dit : Je sens la différence et mes dessous aussi, j'ose aussi vous avouer cela
    Il... dit : Il fait si chaud...d'un coup de langue vous débarrasserai-je de toute cette humidité ?
    Elle dit : j'aime beaucoup cette idée pour débarrasser cette humidité
    Il... dit : Oserai-je ?
    Elle dit : osez tout avec moi
    Il... dit : Hé bien j'oserai donc, sans vergogne, vous couvrir de baisers...avant de m'en aller...
    Elle dit : Ma peau, mon corps frémit rien que l'idée évoquée
    Il... dit : arf, me dites pas ça maintenant...
    Elle dit : Je frémis si, j'ose te le dire
    Il... dit : Bon, hé bien moi je suis tout "chose"
    Elle dit : Mes dessous crient au secours
    Il... dit : moi aussi !
    Elle dit : je sens l'humidité se transformer en moiteur constante
    Il... dit : Bouh...
    Elle dit : Je me sens toute émoustillée
    Il... dit : bon, un bisou dessus et je me sauve alors...
    Elle dit : vous sentirez la chaleur de mon corps au travers
    Il... dit : c'est tellement trempé
    Elle dit : oui trempé c'est bel et bien le mot: j'ai du mal à rester en place, les envies se succèdent en moi, les désirs en éveil...



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  • Mon corps, parcouru par tes mains, frémit,
    Tes yeux lisant l'émoi naissant en moi,
    Tes mains glissant sur ma peau désireuse de toi,
    Ta langue errant dessinant le chemin vers mon pubis.

    Tes bras forts, qui me soutiennent,
    Ce dos musclé qui m'entraîne,
    Tes doigts délicats qui s'immiscent,
    Tes doigts, encore, qui en moi se glissent.

    Envole-moi vers les cimes du plaisir,
    Transporte-moi vers ces cieux de bonheur,
    Évadons-nous vers ce paradis orgasmique,
    Joignons nos corps pour ne faire plus qu'un.

    Fais moi tienne,
    Pour une nuit,
    Donne-toi à moi,
    Pour une vie.


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  • Il paraît que j'ai couché avec des bloggers de la plateforme,
    Mais ce que je ne sais pas, c'est si j'ai jouis au moins !
    Et puis, je ne sais pas non plus avec combien !
    Et puis, je ne sais pas non plus quand était-ce 
    Et puis, je ne sais pas non plus où était-ce !
    Chier, pourquoi c'est les intéressés qui sont au courant en dernier !
    Au fait on fait une partouze tant qu'on y est !
    La liste est ouverte... mais sur ce coup je serais au courant la première !

    Il parait que j'aime les plaisirs charnels,

    Il parait aussi que j'aime les nouvelles expériences sexuelles,

    Il parait aussi que j'ai des envies inassouvies...

    Qui se propose de m'éduquer?

    Qui se propose de me butiner?

    Emmène moi vers les sommets du plaisirs...

    Dévoile la féline qui sommeille en moi...

    Fais moi jouir comme j'ai envie que tu jouisses!



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  • La luxure est la recherche déréglée des plaisirs sexuels (avec ce que cela contient d'excessif et de condamnable).

    N'y voit-on pas comme dans tous les péchés capitaux obéissance à une pulsion “naturelle” et/ou exaltation de soi ?

    La plus célèbre représentante de la luxure et des plaisirs est la Déesse
    Shlikah.

    Demoiselle aux formes débordantes et aux appétits dignes de sa charge.

    Sa crinière rousse, ses yeux profonds, ses oreilles éveillées, sa poitrine fière, sa croupe accueillante et son tempérament fougueux, font d'elle l'un des joyaux du Palais des Dieux.

    Jamais dieu ou déesse n'a été mieux imprégné des devoirs de sa charge. elle attache la plus grande importance à l'obtention du plaisir



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  • J'ose alors lui demander : « Tu ne voulais pas que nous déjeunions ? » ce à quoi il répond encore par un « chut ». Je sens ses mains remonter le long de mes jambes qu'il parcoure de baisers sur les bas. Remonte jusqu'au haut de mes jambes et arrive jusqu'à ma lingerie sur laquelle il dépose un baiser, juste un... J'ai le corps en émoi, je ne sais plus trop où nous sommes.

    Ses mains s'attaquent désormais à l'élimination de ce bout de tissu que je porte encore, il m'ôte mon haut, je suis en dessous, chaussée, les yeux bandés. J'avoue que cette situation m'excite grandement, l'humidité naît en moi, mais il ne le sait pas encore. De ses mains il me fait avancer dans la pièce et me pousse délicatement vers ce que je crois être un guéridon, pose mes mains sur le rebord, descend le long de mes jambes qu'il écarte une à une.

    Il embrasse mon cou plus fougueusement, joue avec sa langue pour descendre le long de mon dos, ce qui a pour effet de me cambrer involontairement. Ses mains saisissent mes anches pendant qu'il embrasse goulûment mes fesses. Il doit être à genoux derrière moi, je sens son souffle sur ma peau qu'il ne cesse d'embrasser, sa langue se glisse vers mon intimité, ses doigts parcourent ma fente humide de désir. Il s'insère, m'enserre de ses bras massifs, mon corps est à lui, sujet au moindre frisson qu'il déclenche.

    Mes jambes s'écartent un peu plus, mes lèvres humides, je ne me retiens plus, je sens un début d'orgasme saisir mon antre. D'un puis deux doigts, il cherche mon intérieur, coulisse en moi, ma chaleur, mon humidité inonde ses doigts raides.

    J'entends un bruit de tissu tombant sur le sol, je devine que son pantalon n'est plus qu'un tas de fibres jonchant le sol. Je perçois son membre droit contre mes fesses, se caresser, il est près comme jamais de moi. Mes mains agrippent le bord de ce guéridon que je maltraite de plus en plus, heureusement qu'il est bien fixe sur le sol. Ma tête renversée en arrière, je n'ai plus qu'une envie. Lui en moi, doucement, fermement, en délicatesse, en profondeur...

    Il devine mes envies, se frotte contre mon sexe, trempé à souhait. De sa main gauche il saisit une poignée de mes cheveux qu'il tire doucement vers lui. ma tête est complètement renversée, le dos cambré à souhait, sa main maintient mon corps par la hanche, son sexe se frotte encore, et encore contre ma mouille. D'un geste sur, il m'empale sur son membre dur. Fermement, en profondeur, il jauge la chaleur et l'humidité qui m'habitent...
    Encore pensais-je, mais il sortit de son fourreau pour me faire languir un peu plus... quelques gémissement s'échappent de ma bouche, un râle de sa bouche. Il est à deux doigts de jouir lui aussi, il a du mal à se contrôler, d'envies brûlantes, il m'enfourne à nouveau, plus loin, plus fort, plus vite, le guéridon tremble sous ses assauts.

    Les mouvements s'accélèrent encore, je ne peux retenir le plaisir intense que je ressens, je cris mon plaisir, me crispe sur les bords du guéridon, lui, tire un peu plus sur mes cheveux, ses râles se font plus sourd, se raidit, il explose en moi en une agonie masculine plus intense encore.

    Puis se retire de son fourreau, ôte mon bandeau, me tourne face à lui et pour seul geste m'embrasse passionnément. Il est malheureusement temps pour moi de retourner au travail, mais je peux dire que je n'avais plus l'envie de travailler.


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