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Le plaisir de lui faire plaisir.
Par
l.nconnue dans
Quelques mots çà et là le
8 Février 2007 à 10:08
L'obscurité s'installe enfin sur la plaine, elle vient de rentrer chez elle. Lui est encore au travail, il en a encore pour une bonne heure. Elle se presse d'aller dans la salle de bain prendre une douche, car elle veut, ce soir, n'avoir d'autre plaisir que celui de cet homme.
La douche vite prise, elle s'enduit le corps d'huiles essentielles afin qu'il soit encore plus soyeux. Aucun endroit n'est épargné. Elle se saisit de cet ensemble en dentelle noire, qu'il affectionne tant, accompagné d'une paire de bas noir. Un maquillage très léger et les cheveux séchés naturellement, car c'est comme çà qu'il l'aime.
Sur le sol, elle dispose, depuis la porte d'entrée, des confettis blanc, et ce jusqu'à la porte de leur chambre. Elle place aussi quelques bougies à certains endroits de la pièce, pour donner à la lumière ce je ne sais quoi d'érotique, de sensuel...
Elle entend la porte d'entrée s'ouvrir et se place sur le lit en attendant qu'il suive les traces qu'elle à laissé sur le sol. Il ne met pas longtemps à la rejoindre, et à la vue de ce spectacle, il en lâche sa mallette sur le sol. Elle se redresse alors pour venir à sa rencontre, marche à quatre pattes sur le lit tel un félin vers sa proie.
Face à face, elle le regarde, il la prend par la taille et l'embrasse délicatement dans le cou, elle le pousse contre le mur et lui murmure à l'oreille que ce soir, il ne sera pas maître de son plaisir.
Elle glisse ses mains sous la veste et la laisse glisser le long de ses bras, de même pour le gilet qu'il porte en dessous.
Un à un elle déboutonne sa chemise, l'écarte pour parcourir son torse de ses mains chaudes, de bas en haut pour rejoindre ses épaules massives, les dégager du tissu qui tombe lui aussi à terre. Il entreprend de la saisir par la taille, mais le mouvement de ses bras est arrêté par sa partenaire.
Ce soir elle prendra plaisir à lui donner du plaisir.
D'ailleurs ses mains continuent leur course vers le pantalon à présent, qu'elle déboutonne et ôte le zip de la braguette, il tombe sans effort à ses pieds, ses mains sont rejointes par sa bouche. Elle dépose des baisers sur chaque parcelle de peau jusqu'à parvenir au fruit du plaisir. Le boxer était de trop à ce moment précis, sans attendre plus elle le lui ôte et embrasse passionnément ce sexe glabre qui se tend vers elle. Les genoux à terre elle engloutit goulûment et enserre de ses mains ce pistil. Vas et vient tendent plus encore son membre, sa main passe dessous ses testicules, qu'elle masse délicatement. Le plaisir ne fait que monter, de légers râles s'échappent de sa bouche, il se cambre vers l'arrière et ses épaules se plaquent un peu plus contre le mur.
Pour continuer le plaisir de ce dernier, elle l'invite sur le lit, il s'y assis à demi allongé, elle se poste devant lui, écarte ses cuisses et lui montre à quel point son plaisir à lui l'excite. Elle écarte la fine bande de dentelle et glisse ses doigts contre son sexe imberbe lui aussi. Il esquisse un mouvement vers l'avant pour la rejoindre, mais du bout du pied elle le repousse, elle se caresse de plus en plus et il voit la mouille naître au bord de ses lèvres. D'une main elle écarte plus encore l'étoffe et glisse un premier doigt en elle, ce spectacle l'excite un peu plus, elle porte alors son doigt à sa bouche et lèche sa liqueur, puis lèche se rapproche de son partenaire pour engloutir encore son pénis.
Ses mains le branle, sa langue lèche ses testicules, il est au bord de l'explosion, sa bouche pour fourreau, elle l'enserre un peu plus. Sa langue parcoure le dessous tandis qu'elle le suce encore plus voracement. Ses râles se font plus sourd, plus fort, ses mains agrippent les barreaux du lit.
Il jouit dans sa bouche en fermant les yeux. Elle se délecte de le voir au summum de son plaisir, la pression se fait plus douce et elle aspire cette semence avec délice. Il la regarde, le visage irradié de plaisir.
Elle lui sourit et s'endort à ses côtés.
Ce soir là, le plaisir de son homme aura été SON plaisir.
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mais fond tout aussitôt sous la chaleur de ton propos. Smack, toi, inconnue pas si inconnue que ça...