J'ose alors lui demander : « Tu ne voulais pas que nous déjeunions ? » ce à quoi il répond encore par un « chut ». Je sens ses mains remonter le long de mes jambes qu'il parcoure de baisers sur les bas. Remonte jusqu'au haut de mes jambes et arrive jusqu'à ma lingerie sur laquelle il dépose un baiser, juste un... J'ai le corps en émoi, je ne sais plus trop où nous sommes.
Ses mains s'attaquent désormais à l'élimination de ce bout de tissu que je porte encore, il m'ôte mon haut, je suis en dessous, chaussée, les yeux bandés. J'avoue que cette situation m'excite grandement, l'humidité naît en moi, mais il ne le sait pas encore. De ses mains il me fait avancer dans la pièce et me pousse délicatement vers ce que je crois être un guéridon, pose mes mains sur le rebord, descend le long de mes jambes qu'il écarte une à une.
Il embrasse mon cou plus fougueusement, joue avec sa langue pour descendre le long de mon dos, ce qui a pour effet de me cambrer involontairement. Ses mains saisissent mes anches pendant qu'il embrasse goulûment mes fesses. Il doit être à genoux derrière moi, je sens son souffle sur ma peau qu'il ne cesse d'embrasser, sa langue se glisse vers mon intimité, ses doigts parcourent ma fente humide de désir. Il s'insère, m'enserre de ses bras massifs, mon corps est à lui, sujet au moindre frisson qu'il déclenche.
Mes jambes s'écartent un peu plus, mes lèvres humides, je ne me retiens plus, je sens un début d'orgasme saisir mon antre. D'un puis deux doigts, il cherche mon intérieur, coulisse en moi, ma chaleur, mon humidité inonde ses doigts raides.
J'entends un bruit de tissu tombant sur le sol, je devine que son pantalon n'est plus qu'un tas de fibres jonchant le sol. Je perçois son membre droit contre mes fesses, se caresser, il est près comme jamais de moi. Mes mains agrippent le bord de ce guéridon que je maltraite de plus en plus, heureusement qu'il est bien fixe sur le sol. Ma tête renversée en arrière, je n'ai plus qu'une envie. Lui en moi, doucement, fermement, en délicatesse, en profondeur...
Il devine mes envies, se frotte contre mon sexe, trempé à souhait. De sa main gauche il saisit une poignée de mes cheveux qu'il tire doucement vers lui. ma tête est complètement renversée, le dos cambré à souhait, sa main maintient mon corps par la hanche, son sexe se frotte encore, et encore contre ma mouille. D'un geste sur, il m'empale sur son membre dur. Fermement, en profondeur, il jauge la chaleur et l'humidité qui m'habitent...
Encore pensais-je, mais il sortit de son fourreau pour me faire languir un peu plus... quelques gémissement s'échappent de ma bouche, un râle de sa bouche. Il est à deux doigts de jouir lui aussi, il a du mal à se contrôler, d'envies brûlantes, il m'enfourne à nouveau, plus loin, plus fort, plus vite, le guéridon tremble sous ses assauts.
Les mouvements s'accélèrent encore, je ne peux retenir le plaisir intense que je ressens, je cris mon plaisir, me crispe sur les bords du guéridon, lui, tire un peu plus sur mes cheveux, ses râles se font plus sourd, se raidit, il explose en moi en une agonie masculine plus intense encore.
Puis se retire de son fourreau, ôte mon bandeau, me tourne face à lui et pour seul geste m'embrasse passionnément. Il est malheureusement temps pour moi de retourner au travail, mais je peux dire que je n'avais plus l'envie de travailler.
la suite de ce petit récit de ma journée d'hier! bonne lecture